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3 anecdotes sur l’Histoire de France… vraiment insolites !

Vous aimez les anecdotes historiques insolites à la fois intelligentes, divertissantes, élégamment racontées, avec une pointe d’humour et qui témoignent d’un travail sérieux ? Vous les recherchez avec avidité ? Je sais que les sujets légers ET de qualité sont difficiles à trouver sur internet et dans les médias. Sur Plume d’histoire et dans l’espace membre du Cabinet Secret, pas d’inquiétude : je mets un point d’honneur à satisfaire les mordus de petite histoire, aussi exigeants que moi sur les sources. Après de nombreuses recherches et épluchages d’archives, j’ai choisi de vous faire partager trois anecdotes originales sur l’histoire de France. Je vous emmène à la Cour de François Ier, dans les coulisses du théâtre au XVIIIe siècle et sur les toits de Versailles dans les années 1920. 

1re anecdote historique insolite : François Ier frôle la mort… et se laisse pousser la barbe ?

En 1521, François Ier est un fringant monarque de vingt-six ans encore auréolé de la victoire de Marignan, célèbre pour son physique avantageux et ses frasques de jeune chien fou. Le 6 janvier de cette année 1521, le roi est auprès de sa mère Louise de Savoie, en Sologne, pour « tirer les rois ». Il s’installe à l’hôtel Saint-Pol, dans la ville de Romorantin où réside sa mère, avec une joyeuse troupe de dames et de gentilhommes de la Chambre.

François Ier apprend alors que le comte François de Saint-Pol, qui s’adonne à la même activité dans son hôtel à proximité avec d’autres seigneurs, vient de remporter la précieuse fève et d’être « couronné roi » ! Le souverain crie à l’imposteur avec humour. Dans son Journal, Jean Barillon, secrétaire d’Antoine Duprat (l’un des principaux ministres de François Ier à cette époque), qualifie l’évènement qui suit de « chose assez piteuse ».

François Ier par Jean Clouet vers 1515/1518
François Ier par Jean Clouet vers 1515/1518

Et en effet ! Après le repas du soir, tel un adolescent invincible et irréfléchi, le monarque entraîne les seigneurs de sa suite « à l’assaut » de l’hôtel de Saint-Pol. Les chenapans visent avec des boules de neige, des pommes et des œufs les fenêtres de l’hôtel où le comte et ses compagnons se sont retranchés. Les assiégés finissent par être à court de munitions. On jette alors tout ce qu’on peut trouver. L’un d’entre eux ne trouve rien de mieux que de saisir un tison enflammé dans une cheminée et de le lancer par la fenêtre.

La bûche incandescente atterrit malencontreusement sur le roi, l’assommant sur le coup et le blessant grièvement à la tête. La situation est catastrophique. Le monarque reste deux mois dans une sorte de demi-conscience qui fait craindre pour sa vie. Louise de Savoie, qui vit des journées d’angoisse, note dans son Journal : « Mon fils fut en grand danger de mourir. » Elle ajoute au sujet de l’incident : « S’il en fût mort, j’étais femme perdue ».

Fort heureusement, le souverain finit par se remettre. Grand seigneur, conscient de sa propre responsabilité dans l’accident, il refuse de connaître le nom du coupable. Il se murmure cependant à la Cour que le fautif serait le comte Jacques Ier de Montgommery, capitaine de la garde écossaise. Pour l’anecdote, c’est son fils Gabriel de Montgommery qui blessera, cette fois-ci mortellement, au cours d’un tournoi, le fils de François Ier, le roi Henri II !

Ces gamineries qui auraient pu conduire à une conclusion dramatique ont donné lieu à une légende tenace. Pour panser convenablement les plaies du roi, le chirurgien aurait été obligé de lui couper l’abondante chevelure dont il était si fier. Craignant de passer pour un moine, désireux de dissimuler ses cicatrices pour le moins disgracieuses, François Ier aurait alors ressuscité un symbole de virilité prohibé par l’Église depuis le Moyen-Âge : la barbe.

François Ier par Joos van Cleves vers 1532/1533 - Philadelphia Museum of Art
François Ier par Joos van Cleves vers 1532/1533 – Philadelphia Museum of Art

Il aurait immédiatement été imité par toute la Cour, diffusant une mode (déjà en vigueur en Italie) dans toutes les Cours européennes, notamment dans l’Angleterre d’Henri VIII Tudor. Un siècle plus tard, Louis XIII préfèrera la perruque et la moustache, la barbe disparaîtra donc complètement jusqu’au milieu du XIXe siècle.

Si les portraits montrent en effet un roi dans la vingtaine totalement imberbe puis un monarque adulte affichant fièrement sa barbe broussailleuse, cela ne suffit pas à accréditer cette légende. Je n’ai croisé dans mes recherches aucun chroniqueur qui fasse mention d’une quelconque corrélation entre la barbe de François Ier et son accident. Ni dans le Journal de Jean Barillon, ni dans les Mémoires de Martin et Guillaume du Bellay, ni dans le Journal d’un bourgeois de Paris sur le règne de François Ier, ni dans le Journal de Louise de Savoie. En revanche, tous font référence à l’accident qui est incontestable !

Vous êtes prêt pour la seconde anecdote historique insolite ?

Sources

Journal de Louise de Savoie
Mongommery le régicide de Alain Landurant
Ephémérides politiques, littéraires et religieuses – 1812
Marguerite de Valois et la Cour de François Ier
Journal d’un bourgeois de Paris sous le règne de François Ier
Mémoires de Martin et Guillaume du Bellay
Journal de Jean Barrillon

2e anecdote sur l’histoire de France : Le serpent de Vaucanson vole la vedette à Mlle Clairon !

Illusions comiques, goût pour le curieux et théâtre de machine… l’homme a souvent cherché à manipuler la réalité pour façonner un merveilleux qui le divertisse. De cette recherche de fantaisie sont nés les automates, ces objets capables d’imiter des corps en mouvement. Ces étonnantes inventions demandent une imagination prolixe, une dextérité virtuose et un savoir-faire minutieux.

Considéré comme l’un des plus habiles mécaniciens français qui aient existé, Jacques de Vaucanson est né à Grenoble en 1709. Très jeune, il s’intéresse aux automates qu’il porte à un niveau de perfectionnement encore jamais atteint. Il marche ainsi avec assurance dans les traces de Léonard de Vinci, organisateur de festivités mémorables à la Cour de Milan et à la Cour de France (souvenez-vous de la thématique de décembre 2021 dans le Cabinet Secret, L’art de la fête !) ou encore du brillant horloger de Louis XIV, Antoine Morand, qui réalise notamment pour le souverain une fabuleuse horloge à automates, l’une des plus anciennes du château de Versailles.

Le cardinal de Fleury peint par Hyacinthe Rigaud
Le cardinal de Fleury peint par Hyacinthe Rigaud

Vaucanson acquiert une telle renommée que Frédéric II de Prusse (qui cherche à se nourrir du savoir de tous les hommes illustres dispersés en Europe) lui fait des offres alléchantes pour l’attirer dans son royaume en 1742. Mais Jacques choisit de rester en France, où règne le jeune Louis XV. Son principal ministre, le cardinal de Fleury, récompense cet acte de patriotisme en attachant l’ingénieur à l’administration. Plus précisément à l’inspection des manufactures de soie. Les ouvriers lyonnais craignent Vaucanson et ses automates… Et si des machines remplaçaient leur savoir-faire ancestral du tissage de la soie ?

Mais c’est d’un automate bien spécifique dont je souhaite vous parler. En 1750, l’encyclopédiste, romancier et dramaturge Jean-François Marmontel donne sa tragédie Cléopâtre au grand Théâtre-Français (la Comédie-Française). Il offre le rôle de la reine d’Égypte à sa maîtresse, la talentueuse Mlle Clairon, qui a déjà conquis le public dans Phèdre par la beauté de ses grands yeux noirs, sa diction parfaite et son jeu émouvant. Décors, costumes, accessoires… tout est prêt. Mais il manque le principal : le serpent, « l’aspic historique qui donne la mort à la souveraine au long nez. »

Portrait de l'actrice Mlle Clairon (Gallica BNF)
Portrait de l’actrice Mlle Clairon (Gallica BNF)

Marmontel charge alors Vaucanson de lui concevoir un aspic automate. La première de la pièce se rapproche. Le 20 mai 1750, une foule impatiente s’installe au Théâtre-Français pour découvrir cette nouvelle création autour de la célèbre souveraine. On ne tarde pas à s’apercevoir que la valeur de cette tragédie est assez mince… Le public indisposé ronge son frein, frustré de ne pouvoir manifester son mécontentement par quelques sifflements : les comédiens vivent alors quelques années de grâce, des gardes français faisant respecter dans les théâtres l‘interdiction de siffler et de huer, avant de lâcher de nouveau la bride de la fin du XVIIIe siècle.

Vient le moment fatidique de la mort de Cléopâtre. L’invention de Vaucanson fait merveille. Au dernier acte, Mlle Clairon approche le serpent de son sein pour se faire mordre et laisser le venin lui ôter la vie. Le serpent, plus vrai que nature, s’agite sous la pression de sa main, se jetant sur l’actrice en émettant un sifflement confondant de réalisme. Aussitôt, une voix s’élève dans le parterre : « Moi, je suis de l’avis de l’aspic ! »La salle entière répond par un immense éclat de rire…

La pièce, en effet, était exécrable et le personnage le plus intéressant était, sans conteste, l’aspic qui mettait fin, du même coup, à la vie de Cléopâtre et à l’ennui formidable du public.

La Revue française politique et littéraire – 26 décembre 1909
Jean-François Marmontel peint par Alexandre Roslin en 1767 - Musée du Louvre
Jean-François Marmontel peint par Alexandre Roslin en 1767 – Musée du Louvre

Marmontel lui-même avoue dans ses mémoires que sa pièce « eut besoin de toute l’indulgence du public pour obtenir un demi-succès de onze représentations. » Et encore, pendant ces onze représentations, ce n’est pas la tragédie que l’on vient saluer, mais l’aspic automate de Vaucanson. Marmontel soupire :

La surprise que causait ce petit chef-d’oeuvre de l’art faisait diversion au véritable intérêt du moment. J’ai préféré depuis un dénouement plus simple. Au reste, je dois reconnaître que j’avais trop présumé de mes forces.

Mémoires de Marmontel

Et en effet, lorsque la pièce reprend trente ans plus tard en 1784, plus d’aspic et plus de mort spectaculaire de Cléopâtre ! Cette version, sans l’automate, a encore moins de succès que la précédente puisqu’elle s’arrête à la troisième représentation devant un parterre déserté : 600 spectateurs dans une salle qui peut en contenir le double ! Je conclus par cet épigramme savoureux datant de 1750 et intitulé Le bon Juge :

Quand les Français donnèrent Cléopâtre,
De Vaucanson l’esprit industrieux
Imagina, pour ce jeu de théâtre,
Certain aspic, ouvrage curieux,
Que la Clairon, sur sa gorge d’albâtre,
Faisant rouler, darder, siffler au mieux :
Un spectateur, qui, de la tragédie,
Ne goûtait pas le style échafaudé,
Interrogé sur cette rapsodie,
Dit : Je me tais, l’aspic a décidé
Mémoires de l’Académie des sciences, arts et belles lettres de Dijon (1831)

👉 Vous aimerez aussi ma sélection des meilleurs podcasts sur l’Histoire de France !

Sources

Le Ménestrel – 26 juin 1909
La Gironde – 16 décembre 1892
La Revue française politique et littéraire – 26 décembre 1909
Le Nouvelliste de Bellac – 6 mai 1883
Les Mémoires de Jean-François Marmontel
Mémoires de l’Académie des sciences, arts et belles lettres de Dijon – 1831

3e petite anecdote insolite de l’histoire de France : Le scandale du plomb au château de Versailles  !

L’entre-deux-guerres est une période d’intense restauration pour le château de Versailles, considérablement malmené par les siècles. En 1924, John D. Rockefeller Jr., héritier de la compagnie pétrolière fondée par son père mais aussi grand philanthrope et amoureux de la France, fait une donation de 10 millions de francs pour redonner à ce fleuron du patrimoine son lustre d’antan. Une seconde donation de 23 millions suit en 1927 !

L’un des grands chantiers entrepris pour sauver le château de la ruine est la remise en état des toitures, alors soumises aux infiltrations d’eau. Il y a urgence ! Avec intelligence, on décide de remplacer l’ardoise par un matériau beaucoup plus solide : le plomb. L’année suivante, une étonnante affaire éclate autour de ce fameux plomb des toitures de Versailles…

Rockefeller, le fameux donateur, dans les années 1920 - Library of Congress
Rockefeller, le fameux donateur, dans les années 1920 – Library of Congress

Tout commence donc à l’été 1928. Par une chaude nuit du mois d’août, deux ouvriers participant à la restauration de Versailles ont l’idée saugrenue de se métamorphoser en malfaiteurs, se hissant sur la toiture du château en bordure de la cour d’honneur pour y dérober dix-sept rouleaux de plomb d’un poids total de 200 kg. 300 kg disent certaines sources. Le montant du larcin ? environ 800 francs. 

C’est en tout cas le forfait qu’on reproche à ces pauvres bougres, Charles Fonteny et Camille Adolphe, lors de leur arrestation le 8 août 1928. Ils clament leur innocence ! Oui, ils ont bien revendu du vieux plomb ramassé dans un grenier du château, comme beaucoup d’autres ouvriers ne se privent pas de le faire, mais certainement pas 200 kg de plomb neuf ! Les deux hommes sont remis en liberté et l’affaire est classée. Qu’on en parle plus ? Mais cette histoire a attiré l’attention du Parquet de Versailles qui rouvre l’enquête quelques mois plus tard. M. Balmadier, commissaire à la première brigade mobile, est chargé de l’enquête.

Toiture du château de Versailles avant les travaux - Archives de Versailles
Toiture du château de Versailles avant les travaux – Archives de Versailles

Le 26 octobre, il procède à des perquisitions chez des fondeurs de Paris situés rue Lakanal et boulevard de Charonne. Il découvre de grosses quantité de vieux plomb, dont une partie paraît provenir de Versailles. Comment est-ce possible ?

Les règles en vigueur stipulent clairement que le vieux plomb aurait dû être vendu aux enchères par les soins de l’administration des Domaines de Versailles et non faire l’objet d’un contrat noué directement entre l’administration des beaux-arts et un entrepreneur versaillais, en l’occurence la maison Berson frères. L’entrepreneur allègue qu’il a bien sûr déduit le montant perçu de cette vente du règlement de ses travaux. 

Mon oeil ! Peu convaincu, M. Balmadier est bien déterminé à avoir le fin mot sur cette histoire qui sent le détournement à plein nez. Il se souvient de la déposition des deux ouvriers inculpés : ils ne se seraient servis que parce que d’autres se servaient…  Le commissaire se rend directement à Versailles interroger les équipes du château. 

M. Guéritté, remplaçant de l’architecte en chef M. Bonnet, est outré par ce qu’il qualifie de « racontars calomnieux. » Pourtant, le commissaire relève dans les écritures du service de l’architecture de nombreuses irrégularités. En comparant les livres de comptabilité du brocanteur/revendeur, de l’entrepreneur Berson frères et du château, force est de constater que ni les dates, ni le poids, ni les qualités ne concordent.

Voilà que M. Guéritte avoue que, récemment, on s’est abstenu de peser 16 000 kg de vieux plomb à leur sortie des magasins de Versailles. 

Ce plomb n’avait été pesé en présence du contrôleur des travaux de la fondation Rockefeller que plus tard. […] C’est là évidemment une opération inexplicable, mais il est vraisemblable qu’elle a été précédée de beaucoup d’autres, s’il est vrai que, comme on le raconte, les négligences administratives remontent à trois années.

Le Petit Parisien – 27 octobre 1928 

À force de fouiller, M. Balmadier déterre des cadavres mettant en cause plusieurs fonctionnaires chargés de surveiller les travaux.  Le journal l’Humanité révèle le pot aux roses dans son édition du 29 novembre 1928 : 

Toiture de Versailles après les travaux (le plomb remplace l'ardoise) - Archives de Versailles
Toiture de Versailles après les travaux (le plomb remplace l’ardoise) – Archives de Versailles

Un fonctionnaire des services d’architecture, M. Mercier, possédant toute la confiance de l’architecte en chef, M. Patrice Bonnet, et de l’architecte ordinaire, M. Guéritte, avait été chargé, à chaque sortie des tombereaux, de peser le plomb enlevé et d’inscrire les livraisons sur des registres. Or, le procédé était des plus simples : on enlevait le plomb, on ne le pesait pas, et on ne le portrait pas sur les livres ! C’est ainsi que de nombreuses tonnes de matériaux ont pu être sorties à l’insu de l’architecte en chef, coupable, en tout état de cause, de négligence. Les recherches se poursuivirent et l’on en apprit de belles : le plomb remplaçant celui qu’on enlevait – lequel datait du temps de Louis XIV et était de première qualité – mesurait à peine deux millimètres d’épaisseur, en infraction au cahier des charges, et était de qualité tout à fait inférieure.

L’Humanité – 29 novembre 1928

On prend peur en haut lieu. Si l’affaire remonte aux oreilles de Rockefeller, elle pourrait le pousser à fermer les cordons de sa bourse si généreuse… Toutes les parties prenantes se liguent pour étouffer le scandale. Le juge d’instruction, effaré de voir que des mains peu scrupuleuses sont allées jusqu’à arracher des pages dans les registres du château, demande des analyses complémentaires en janvier 1929. Mais dès le mois de février, l’enquête disparaît des colonnes des journaux… On préfère parler désormais de « Comment les 25 millions du don de Rockefeller ont permis de sauver le merveilleux palais ! » (L’Intransigeant, 2 février 1929)

👉 Vous connaissez la véritable histoire de la galerie des glaces ? Je vous la raconte dans ce court article gratuit Plume d’histoire, et un podcast beaucoup plus approfondi est disponible dans le Cabinet Secret (thématique du mois de septembre 2021 – Versailles, pour la gloire de la France !)

Sources

L’Œuvre – 9 août 1928
Journal des débats politiques et littéraires – 3 août 1928
L’Intransigeant – 28 octobre 1928 et 2 février 1929
Le Phare de la Loire – 27 octobre 1928
Le Quotidien – 27 octobre 1928
L’Humanité – 29 novembre 1928
L’Intransigeant – 2 février 1929

Cet article a 2 commentaires

  1. Rey

    Bonjour
    Une erreur sûrement involontaire de Louis s’est glissée ds l anecdote de François 1er.
    Un siècle plus tard : ce ne peut définitivement pas être Louis XII mais Louis XIII.
    Navrée… mais mon autre métier de correcteur relecteur l a emporté sur ma curiosité et mon plaisir à vous lire comme toujours !

    1. Plume d'histoire

      Merci infiniment, évidemment c’est de notre ténébreux Louis XIII dont il s’agit, fichue erreur de frappe !

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